Santé

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas uniquement en une absence de maladie ou d'infirmité.



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Définitions :

  • selon l'OMS, Health is a state of complete physical, mental, and social well-being and not merely the absence of disease or infirmity.... (source : cvosliens.site.voila)

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas uniquement en une absence de maladie ou d'infirmité.

Cette définition est celle du préambule[1] de 1946 à la Constitution de l'organisation mondiale de la santé (OMS). Cette définition de l'OMS n'a pas été modifiée depuis 1946.

Elle implique que l'ensemble des besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu'ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels et du stade de l'embryon, ou alors des gamètes à celui de la personne âgée.

Elle se présente par conséquent plutôt comme un objectif, que certains jugeront utopique dans la mesure où elle classe, selon le pays étudié, de 70 à 99% des gens comme n'étant pas en bonne santé ou malade. On peut lui préférer celle de René Dubos : «État physique et mental assez exempt de gênes et de souffrances autorise l'individu de fonctionner aussi longtemps que envisageable dans le milieu où le hasard ou le choix l'ont positionné», qui présente la santé comme la convergence des notions d'autonomie et de bien-être.

En somme, la santé c'est lorsque tout fonctionne bien, que tout ronronne, corps comme mental. On parle aussi de santé mentale, de santé reproductrice.

C'est un état relatif. On dit d'une personne qu'elle est en "bonne santé" ou en "mauvaise santé".

Par ressemblance avec la santé humaine, on parle aussi de la "santé économique" d'un pays, d'une entreprise "en bonne santé", etc.

La santé est un état précaire qui ne laisse présager rien de bon (Jules Romains dans Knock) et
la vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible qui s'attrape à l'apparition et se conclut infailliblement par la mort (anonyme).

La santé est une notion relative, quelquefois non présentée comme corollaire de l'absence de maladie : Des personnes porteuses d'affections diverses sont quelquefois jugées "en bonne santé" si leur maladie est contrôlée par un traitement. Dès le milieu du XXe siècle, des spécialistes du diabète ont ainsi parlé de «santé insulinienne». Actuellement, cet état de fait est même majoritaire dans les pays développés : il devient exceptionnel à partir d'un certain âge de ne pas avoir par exemple un trouble de la réfraction oculaire ou des problèmes d'hypertension. A contrario certaines maladies peuvent être asymptomatiques pendant très longtemps , ce qui fait que des personnes qui se sentent en bonne santé peuvent ne pas l'être réellement.

(Voir aussi les articles Maladie et Handicap)

Pour l'ONU, la santé reproductive est un droit, comme les autres droits de l'Homme.
Cette notion récente évoque la bonne transmission du patrimoine génétique d'une génération à l'autre. Elle passe par la qualité du génome, des spermatozoïdes et des ovules, mais également par une maternité sans risque, l'absence de violences sexuelles et sexistes, les maladies sexuellement transmissibles (MST), la planification familiale, l'éducation sexuelle, l'accès aux soins, la diminution de l'exposition aux perturbateurs endocriniens, etc.

Un certain nombre de polluants (dioxines, pesticides, radiations, leurres hormonaux, etc. ) sont suspectés d'être, peut-être à faibles ou particulièrement faibles doses responsables d'une délétion de la spermatogenèse ou d'altération des ovaires ou des processus de fécondation puis de développement de l'embryon). Certains sont aussi cancérigènes ou mutagènes (ils contribuent à l'augmentation du risque de malformation et d'avortement spontané).

Les soins de santé reproductive :

Ils recouvrent un ensemble de services, définis dans le Programme d'action de la Conférence mondiale sur la population et le développement (CIPD) tenue au Caire (Égypte) en septembre 1994 : conseils, information, éducation, communication et services de planification familiale; consultations pré et postnatales, accouchements en toute sécurité et soins prodigués à la mère ainsi qu'à l'enfant; prévention et traitement approprié de la stérilité ; prévention de l'avortement et prise en charge de ses conséquences; traitement des infections génitales, maladies sexuellement transmissibles y compris le VIH/SIDA; le cancer du sein et les cancers génitaux, mais aussi tout autre trouble de santé reproductive; et dissuasion active de pratiques dangereuses telles que les mutilations sexuelles féminines.

(... )

Un enjeu collectif : santé publique et politique de santé

Affiche de promotion de la vaccination contre la variole et la rougeole (1979)

La santé publique sert à désigner à la fois l'état sanitaire d'une population apprécié via des indicateurs de santé (quantitatifs et qualitatifs, dont l'accès aux soins), et la totalité des moyens collectifs susceptibles de soigner, promouvoir la santé et de perfectionner les conditions de vie.

Dans les sociétés primitives la santé relève le plus souvent tout autant de l'individu que du groupe. Elle est intriquée avec les croyances animistes et religieuses, et le rôle des guérisseurs (chaman, sorciers, etc. ) qui utilisent à la fois la pharmacopée locale, le toucher et des pratiques relevant de la magie, de la divination, ou de la psychologie.

En Europe, l'organisation des soins est restée jusqu'au XIXe siècle particulièrement surtout dépendante d'initiatives privées et d'œuvres caritatives (Le rôle des institutions religieuses a été longtemps prédominant, l'assistance aux malades étant reconnue comme une œuvre de charité).

Cependant, en Flandre par exemple, des mesures de salubrité [2] sont prises par les magistrats (équivalent du maire) de différentes villes :

  • l'Ordonnance de Bruges de 1464 impose le nettoyage des rues une ou deux fois par semaine. Et l'ensemble des jours dès 1632, mais aussi l'obligation de dégager les égouts,
  • l'Ordonnance de Lille de 1470 demande que les immondices soient dégagées des chemins encerclant Lille. Cette tache sera prise en charge par la ville en 1668.
  • le magistrat de Bruges fait démolir des maisons pour cause d'insalubrité en 1485.

Les cimetières étant source de miasmes et d'infection, Louis XVI prend un Édit le 10 mars 1776 qui défend d'enterrer dans les églises et les chapelles.

À partir du XVIIIe siècle, la maladie cesse progressivement d'être reconnue comme une fatalité et le corps redevient un sujet de préoccupation. Ce mouvement concerne en premier lieu les élites, puis couvre progressivement à la totalité de la société. La santé devient alors un droit que les États se doivent de garantir.

Le développement de l'industrialisation est un second facteur qui tend à expliquer le développement de la santé publique : d'une part pour de simples critères de productivité des ouvriers (médecine du travail), d'autre part par crainte des émeutes et sous la pression des syndicats. Enfin la Première et la Deuxième Guerre mondiale contribueront au développement de la prise en charge médicale de masse ainsi qu'à la mise en place de politiques d'assistance sociale : c'est l'apparition de la notion d'État-providence. Après la pandémie de grippe espagnole de 1918, la santé publique prend une dimension mondiale avec l'OMS. L'éco épidémiologie se développe pour mieux suivre les zoonoses transmissibles à l'homme, via surtout une collaboration avec la FAO et de l'OIE sous l'égide de l'ONU. L'Europe tend à prendre plus d'importance dans le domaine de la santé. [3]

Les domaines de la santé publique

La notion de santé publique regroupe plusieurs champs :

Les politiques de promotion de la Santé

La promotion de la santé telle que définie par l'OMS est le processus qui confère aux populations les moyens d'assurer un plus grand contrôle sur leur propre santé, et de perfectionner celle-ci. [4] Cette démarche relève d'un concept définissant la "santé" comme la mesure dans laquelle un groupe ou un individu peut d'une part, réaliser ses ambitions et satisfaire ses besoins et , d'autre part, évoluer avec le milieu ou s'adapter à ce dernier.

Voir aussi :

Icône de détail Article détaillé : Crise sanitaire.

Les crises sanitaires sont des pandémies importantes, qui touchent entre une dizaine de personnes (cas des crises particulièrement médiatisées qui touchent les pays développés, comme certaines crises alimentaires) et des millions de personnes. Elles peuvent avoir des coûts économiques, sociaux et politiques énormes.

L'OMS a d'ailleurs été créée pour qu'une pandémie telle que celle produite par la grippe espagnole ne se reproduise pas avec les mêmes effets (30 à 100 millions de morts selon les sources).

La santé, enjeux politiques, juridiques et économiques

Les sommes en jeu dans le domaine de la santé sont énormes, tant pour les coûts induits par les maladies, les pollutions[5] et l'absentéisme, que par le marché des soins et des médicaments (En 2002, le marché mondial du médicament a été évalué à 430, 3 milliards de dollars, contre 220 milliards en 1992). Le marché pharmaceutique a augmenté de 203 milliards d'euros. Et la consommation médicale progresse plus rapidement que le PIB dans les pays développés.

Des crises sanitaires telles qu'une pandémie peuvent avoir des coûts économiques, sociaux et politiques énormes. L'OMS a d'ailleurs été créée pour qu'une pandémie telle que celle produite par la grippe espagnole ne se reproduise pas avec les mêmes effets (30 à 100 millions de morts selon les sources).

La santé est par conséquent prise en compte par le droit, y compris du point de vue des Conditions de travail.

Les règles en matière de santé font l'objets de textes internationaux édictés par l'OMS ou la FAO (Codex alimentarius pour l'alimentation).

L'Union européenne a produit de nombreuses directives, règlements ou décisions pour protéger la santé des consommateurs ou d'animaux consommés.

Règlementation de la santé en France

En France, le nouveau Code de la santé publique en vigueur depuis mai 2003 (sous réserve de changements) veut (Article L1110-1) que l'ensemble des moyens disponibles au bénéfice de toute personne soient mis en œuvre pour protéger sa santé par les professionnels, les établissements et les réseaux de santé, mais aussi par les organismes d'assurance maladie ou tout autre organisme contribuant à la prévention ainsi qu'aux soins. Les autorités sanitaires doivent contribuer avec les usagers, à développer la prévention, dans un souci d'égalité d'accès de chacun et de tous aux soins que nécessite son état de santé. Il s'agit aussi d'assurer la continuité des soins mais aussi la meilleure sécurité sanitaire envisageable. Le malade a droit au respect de sa dignité précise la Loi nº 2002-303 du 4 mars 2002 art 3 [6], ainsi (sauf dérogations stipulées par la loi) qu'au respect de sa vie privée et du secret des informations la concernant.. source [7]. Une orientation prioritaire du plan national santé environnement (PNSE, version juin 2004) est de promouvoir la santé environnementale. Annoncé en janvier 2003, ce plan adopté le 21 juin 2004 (pour cinq ans) a été rédigé sous l'autorité des ministres chargés de la santé, de l'écologie, du travail et de la recherche, et dans le cadre de la Charte de l'environnement et dans celui de la stratégie européenne de l'Organisation Mondiale de la Santé. Ce PNSE pourrait être renforcée suite au Grenelle de l'environnement (oct 2007).

Un dossier «Santé et environnement : enjeux et clés de lecture» a été publié avec L'Ademe, l'ENSP, Ineris, InVS, Inpes, FNE et FNES qui participent avec les ministère chargé de la santé et de l'écologie sur la majorité des questions de santé environnementale.

Un chapitre «Environnement et santé» a été ajouté au rapport «L'Environnement en France» publié par l'IFEN l'ensemble des 4 ans[8].

Un Plan de santé au travail (PST) a été présenté aux partenaires sociaux lors d'une plénière du Conseil Supérieur de Prévention des Risques Professionnels, formalisant pour 5 ans les engagements de l'État envers les 15 millions de salariés français sur leur lieu de travail.

Une étude "PERPLEX" (Vision des Risques par le Public et par les Experts) a été commandée par l'IRSN et faite avec l'Ademe, l'Afssa, l'Ifen, l'Ineris, l'Inra et l'InVS évalue la (PERPLEX) avec l'institut BVA pour mieux comprendre les différences de vision du risque par le grand public et par les experts des agences ou organismes d'expertise publique. Cette étude a montré que les français sont fréquemment plus sévères que les experts, qu'ils juge les risques plus élevés et accordent moins leur confiance aux autorités, qu'ils estiment plus fréquemment que toute la vérité n'est pas dite sur les dangers. Cependant, selon l'étude, les experts et institutionnels hiérarchisent le plus fréquemment environ de la même manière les risques.

La directive REACh devra être appliquée en France, et des plans spécifiques ont été rédigés sur les thèmes Amiante, Bruit, Canicule, Cancer, Déchets, Éthers de glycol, Froid, Grippe aviaire (rédigé par le ministère de la Défense), Inondations, Légionellose, Nitrates, PCB et PCT, Pesticides, Phytosanitaires, Pollutions d'origine agricole, POP, Risques technologiques, Sites et sols pollués. Dans le domaine de l'air et du climat, des plans sont en cours ; Plan climat, Plan véhicule propre et économe, Plan national biocarburants, Plan national d'affectation des quotas d'émissions de dioxyde de carbone, Programme national de réduction des émissions de polluants atmosphériques (SO2, NOx, COV, NH3), Primequal-Predit. Ils sont périodiquement mis à jour ou évalués.

Consulter aussi :


Les facteurs déterminants de la santé

L'hygiène est la totalité des comportements concourant à maintenir les individus en bonne santé. Ils demandent de pouvoir surtout faire la part entre les bons microbes et ceux qui sont pathogènes ou peuvent le devenir dans certaines circonstances ; circonstances que l'hygiène cherche à rendre moins probables, moins habituelles ou supprimées. Après une phase hygiéniste dont l'efficacité de court terme est indiscutable, sont apparus une augmentation des allergies, des maladies auto-immunes, des antibiorésistances et des maladies nosocomiales jugées préoccupantes. La recherche de justes équilibres entre exposition au risque et solutions médicales est en cours est rendue complexe dans un contexte d'exposition accrue à des cocktails de polluants complexes (pesticides surtout) et perturbateurs hormonaux, de modifications sociétales et climatiques planétaires (cf. maladies émergentes, risque pandémique, zoonoses, risque de bioterrorisme.. ),

Cette discipline vise par conséquent à maîtriser les facteurs environnementaux pouvant contribuer à une altération de la santé, comme la pollution par exemple, avec des problèmes paradoxaux à gérer : par exemple, le perfectionnement des conditions d'hygiène semble avoir paradoxalement pu faciliter la réapparition de maladies comme la poliomyélite et diverses maladies auto-immunes et allergies.

De nombreux facteurs de risque sont intrinsèquement liés au mode de vie. Les soins corporels, l'activité physique, l'alimentation, le travail, les problèmes de toxicomanies... ont un impact global sur la santé des individus.

L'hygiénisme moral (à ne pas confondre avec la médecine alternative créée par Herbert Shelton) est la doctrine selon laquelle : la lutte contre le «relâchement des mœurs» serait le meilleur moyen de garantir la santé. C'est ce courant qui a par exemple au XIXe siècle déclaré la lutte contre la syphilis ou l'alcoolisme priorité nationale. C'est aussi lui qui déclare que si les obèses sont gros, c'est qu'ils sont gourmands et paresseux, ou encore que les fumeurs n'ont pas de volonté. Il semble persister dans certaines politiques et campagnes d'information et d'éducation des citoyens à l'hygiène.

De nombreux risques et dangers sont liés au domaine de la santé [9], l'évolution de l'Homme et aussi les changements de son mode de vie ne sont pas sans conséquences. L'alimentation et les nouvelles technologies sont aussi des facteurs de risques en France et dans le reste du monde.

Quatre facteurs permettraient d'allonger énormément la durée de la vie[10] : absence de tabac, consommation d'alcool égale ou inférieure à un demi verre par jour, consommation de 5 fruits et légumes par jour, exercice physique d'une demi heure par jour. Le tout permet d'espérer une majoration de l'espérance de vie de 14 ans comparé au non respect de ces facteurs[11].

La lutte contre les infections nosocomiales à l'hôpital, ou contre les toxi-infections alimentaires par exemple, est née après la découverte de l'asepsie sous l'influence par exemple de Ignàc Semmelweiss ou Louis Pasteur. Les comportements individuels et collectifs sont de toute première importance dans la lutte contre les épidémies ou les pandémies.

La pollution aigüe ou chronique, qu'elle soit biologique, chimique, due aux radiations ionisantes, ou sonore, ou lumineuse (ces facteurs pouvant additionner ou multiplier leurs effets) est aussi une source importante de maladies.

C'est un domaine (quelquefois appelé "santé environnementale" qui se développe depuis la fin du XXème siècle, suite à la prise de conscience du fait que l'environnement, surtout quand il est pollué est un déterminant majeur de la santé.

Dans l'Union européenne : La Commission a adopté (11 juin 2003) une «stratégie Communautaire en matière de santé et d'environnement»[12], traduite le 9 juin 2004, en un «Plan d'Action [13]» (2004-2010), qui vise surtout les maladies dites "environnementales", dont l'asthme et les allergies respiratoires, en cherchant d'une façon plus générale à «mieux prévenir les altérations de la santé dues aux risques environnementaux» (dont l'exposition aux pesticides ainsi qu'à leurs résidus). Des dispositifs de veille sanitaire permanente doivent identifier les [14] (dont nanotechnologies, OGM, maladies émergeantes, impacts des modifications climatiques.. ) et évaluer l'impact sanitaires des actions réalisées au niveau communautaire mais également national. Un «plan d'action environnement et santé» va être développé afin d'implémenter cette stratégie, qui plus est un processus de consultation a été initié. le plan d'action vise à faire le point sur les connaissances scientifiques existantes ainsi qu'à évaluer la cohérence et les progrès réalisés dans la mise en œuvre du cadre législatif communautaire en matière de santé et d'environnement. Un nouveau dispositif d'information sur la santé est prévu "qui fonctionnera aussi dans le domaine de l'environnement" et veut devenir «principale source de données fiables pour l'évaluation de l'impact des facteurs environnementaux sur la santé»[15]. Ces aspects seront coordonnés avec les dispositifs de réaction rapide et une approche intégrée «visant à juguler les déterminants environnementaux de la santé».

  1. Préambule adopté par la Conférence mondiale sur la Santé, New York, 19-22 juin 1946; signé le 22 juillet 1946 par les représentants de 61 États. 1946; (Actes officiels de l'Organisation mondiale de la Santé, n°. 2, p. 100) et entré en vigueur le 7 avril 1948. à la Constitution de l'Organisation mondiale de la Santé
  2. Alexandre Faidherbe fils, Les médecins des pauvres et la santé publique en Flandre, et spécifiquement à Roubaix, 1889
  3. Livre blanc de l'UE sur les stratégies pour la santé (11 p. )
  4. Définition donnée en 1986, à l'occasion de charte d'Ottawa pour la promotion de la santé
  5. En France, l'Afsset a lancé en 2007 une étude sur les coûts pour l'assurance maladie de certaines pathologies liées à la pollution
  6. Journal Officiel du 5 mars 2002
  7. Loi nº 2002-303 du 4 mars 2002 art. 3 Journal Officiel du 5 mars 2002, Loi nº 2004-810 du 13 août 2004 art. 2 II Journal Officiel du 17 août 2004)
  8. Chapitre est rédigé par l'Afsset avec l'Ademe, l'Ineris, le CSTB/OQAI et l'InVS.
  9. Danger Santé - Effet Santé - Risque Santé - Cause conséquence Santé - Sante FR
  10. Public Library of Medecine, n°de la semaine du 9 janvier 2008, cité dans Le Figaro, 9 janvier 2008, page 12
  11. Une vie saine peut accroître la longévité de 14 ans, dans Le Figaro, 9 janvier 2008, page 12
  12. Communication de la commission européenne [pdf]
  13. Plan d'action (8 pages, [pdf])
  14. menaces émergentes
  15. Page d'information de la commission sur la santé et ses déterminants environnementaux

  • André Rauch, Histoire de la santé, PUF, Que-sais-je ?, 1995
  • Georges Canguilhem, La santé, concept vulgaire et question philosophique, Sables, Pin-Balma, 1990


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